Les saisons d'une vie
A. La jeuness : l'été
B. Syndrome de la page blanche : l'automne
C. L'espoir de l'inspiration : l'hiver
II. Le poète et le temps qui passe / domination du temps
A. Le temps qui conduit le poète à sa perte
B. Les désastres du temps qui passe
C. Le temps qui passe : une fatalité.
dimanche 15 mai 2011
"A Une Passante" Tableaux Parisiens, Les Fleurs du Mal
"A une passante"
Thématique des tableaux parisiens.
Décor de la ville laisse place à une femme, fugace, mais qui laisse un souvenir à Baudelaire de manière durable.
Représente la beauté mystérieuse ==> idéal du beau de Baudelaire.
But de ce poème : fixer cette impression. Le poème devient alors garant du souvenir.
I Une rencontre dans un contexte parisienA) Le décor
Description et personnification de la rue.
B) La rencontre
Choc et brutalité.
2 univers opposés.
Termes violents montre la violence de l’esprit du poète. Tension de la dualité : Amour / Violence, Spleen / Idéal
II L’image de la femmeA) La beauté de la passante
Description : Silhouette, Tenue, Corps.
Œuvre d’artB) Une femme mystérieuse et duelle
Pas d’identité
Marques de l’incertitude
Le danger sous l’apparence du calme (Voir les jeux d’opposition sur la femme)Elle le sort de sa léthargie, du spleen. Mais échec.
III Un échec amoureuxA) Mouvement et immobilité
Voué à l’échec : Titre
Absence de communication
Fuite.
Poète immobile (termes péjoratifs)B) Le poète à fatalité
L’introspection pour constat d’échec
Poète maudit.
Le tragique, le pessimisme.Dans ce sonnet, Baudelaire exprime des sentiments violents dans un contexte bruyant et agressif qui devient alors le cadre d’une rencontre amoureuse, source de frustration car voué à l’échec avant même d’être entamée.
Baudelaire confronte l’image e la femme séductrice avec celle de la femme destructrice. Il met en avant son propre échec. L’écriture de ce poème est une occasion de peindre l’allégorie de la condition humaine, fidèle à sa réputation de « poète maudit ».
>>Dans " A une passante", J'ai la signification de la "jambe de statue".
Faut voir la jambe de Fanfarlo. baudelaire à écrit "La fanfarlo" dans Essais et nouvelles et il décrit une jambe parfaite.
Jvous ai trouvé le passage :
" Il la trouva un soir dans sa loge. Deux vastes flambeaux et un large feu faisaient trembler leurs lumières sur les costumes bariolés qui traînaient dans ce boudoir.
La reine du lieu, au moment de quitter le théâtre, reprenait une toilette de simple mortelle, et, accroupie sur une chaise, chaussait sans pudeur sa jambe adorable ; ses mains, grassement effilées, faisaient se jouer à travers les oeillets le lacet du brodequin comme une navette agile, sans songer au jupon qu'il fallait rabattre. Cette jambe était déjà, pour Samuel, l'objet d'un éternel désir. Longue, fine, forte, grasse et nerveuse à la fois, elle avait toute la correction du beau et tout l'attrait libertin du joli. Tranchée perpendiculairement à l'endroit le plus large, cette jambe eût donné une espèce de triangle dont le sommet eût été situé sur le tibia, et dont la ligne arrondie du mollet eût fourni la base convexe. Une vraie jambe d'homme est trop dure, les jambes de femme crayonnées par Devéria sont trop molles pour en donner une idée.
Dans cette agréable attitude, sa tête, inclinée vers son pied, étalait un cou de proconsul, large et fort, et laissait deviner l'ornière des omoplates, revêtues d'une chair brune et abondante. Les cheveux lourds et serrés retombaient en avant des deux côtés, lui chatouillaient le sein, et lui bouchaient les yeux, de sorte qu'à chaque instant il fallait les déranger et les rejeter en arrière. Une impatience mutine et charmante, comme d'un enfant gâté qui trouve que cela ne va pas assez vite, remuait toute la créature et ses vêtements, et découvrait à chaque instant de nouveaux points de vue, de nouveaux effets de lignes et de couleur."
Thématique des tableaux parisiens.
Décor de la ville laisse place à une femme, fugace, mais qui laisse un souvenir à Baudelaire de manière durable.
Représente la beauté mystérieuse ==> idéal du beau de Baudelaire.
But de ce poème : fixer cette impression. Le poème devient alors garant du souvenir.
I Une rencontre dans un contexte parisienA) Le décor
Description et personnification de la rue.
B) La rencontre
Choc et brutalité.
2 univers opposés.
Termes violents montre la violence de l’esprit du poète. Tension de la dualité : Amour / Violence, Spleen / Idéal
II L’image de la femmeA) La beauté de la passante
Description : Silhouette, Tenue, Corps.
Œuvre d’artB) Une femme mystérieuse et duelle
Pas d’identité
Marques de l’incertitude
Le danger sous l’apparence du calme (Voir les jeux d’opposition sur la femme)Elle le sort de sa léthargie, du spleen. Mais échec.
III Un échec amoureuxA) Mouvement et immobilité
Voué à l’échec : Titre
Absence de communication
Fuite.
Poète immobile (termes péjoratifs)B) Le poète à fatalité
L’introspection pour constat d’échec
Poète maudit.
Le tragique, le pessimisme.Dans ce sonnet, Baudelaire exprime des sentiments violents dans un contexte bruyant et agressif qui devient alors le cadre d’une rencontre amoureuse, source de frustration car voué à l’échec avant même d’être entamée.
Baudelaire confronte l’image e la femme séductrice avec celle de la femme destructrice. Il met en avant son propre échec. L’écriture de ce poème est une occasion de peindre l’allégorie de la condition humaine, fidèle à sa réputation de « poète maudit ».
>>Dans " A une passante", J'ai la signification de la "jambe de statue".
Faut voir la jambe de Fanfarlo. baudelaire à écrit "La fanfarlo" dans Essais et nouvelles et il décrit une jambe parfaite.
Jvous ai trouvé le passage :
" Il la trouva un soir dans sa loge. Deux vastes flambeaux et un large feu faisaient trembler leurs lumières sur les costumes bariolés qui traînaient dans ce boudoir.
La reine du lieu, au moment de quitter le théâtre, reprenait une toilette de simple mortelle, et, accroupie sur une chaise, chaussait sans pudeur sa jambe adorable ; ses mains, grassement effilées, faisaient se jouer à travers les oeillets le lacet du brodequin comme une navette agile, sans songer au jupon qu'il fallait rabattre. Cette jambe était déjà, pour Samuel, l'objet d'un éternel désir. Longue, fine, forte, grasse et nerveuse à la fois, elle avait toute la correction du beau et tout l'attrait libertin du joli. Tranchée perpendiculairement à l'endroit le plus large, cette jambe eût donné une espèce de triangle dont le sommet eût été situé sur le tibia, et dont la ligne arrondie du mollet eût fourni la base convexe. Une vraie jambe d'homme est trop dure, les jambes de femme crayonnées par Devéria sont trop molles pour en donner une idée.
Dans cette agréable attitude, sa tête, inclinée vers son pied, étalait un cou de proconsul, large et fort, et laissait deviner l'ornière des omoplates, revêtues d'une chair brune et abondante. Les cheveux lourds et serrés retombaient en avant des deux côtés, lui chatouillaient le sein, et lui bouchaient les yeux, de sorte qu'à chaque instant il fallait les déranger et les rejeter en arrière. Une impatience mutine et charmante, comme d'un enfant gâté qui trouve que cela ne va pas assez vite, remuait toute la créature et ses vêtements, et découvrait à chaque instant de nouveaux points de vue, de nouveaux effets de lignes et de couleur."
"Au Lecteur" Les Fleurs du Mal, Baudelaire; 1857 ou 1861
"Au lecteur"
Poème liminaire du recueil. Recueil qui montre la modernité de Baudelaire : trouver le beau dans le laid.
I Une vision pessimiste de l'Homme
Après les parnassiens, baudelaire donne un autre rôle à la poésie : chanter le spleen qui marque l'homme d'humeurs noires. La poésie naît de ce mal. Elle crée une rupture avec le passé.
Pascal a dit : "le coeur de l'homme est creux et plein d'ordures". ici, le but de baudelaire est de peindre l'homme faible.
A) Une peinture de la faiblesse humaine
Liste de défauts. (V1)
Homme vit dans l'illusion (V8)
Manque de volonté : l'homme se complait dans le Mal
La débauche.
A l'opposé des poètes romantique où Dieu est au centre, Baudelaire place Satan au centre.
B) L'esthétique satanique
Champs lexical de la religion.
Images, avatars du Mal.
C) La place du Spleen
Monstres, animaux ==> Menace
V32 : superlatif : effet de crescendo
L'ennui, sous forme allégorique.
Annonce le ton du recueil
Fonctions de la préface : - informer sur le genre
- Donner le ton
- protocole de lecture (Comment et pourquoi lire.)
II Un poème en forme de préface
A) Un pacte avec le lecteur
Pronoms utilisés. D'abord le poète et les autres, puis le poète et le lecteur (Complicité)
Poésie : exercice de lucidité (Rimbaut : "Il faut se faire voyant")
Provocation : Baudelaire force le lecteur à être un personnage actif de son reccueil.
B) La violence poétique : la modernité de Baudelaire
Images crus.
Voc. courant / soutenu
Oxymores : déchirement et réconciliation ( = spleen et idéal)
C) Le déploiement de l'image
Allégories
Strophe 3 : Métaphore filée
Présentatif : rôle de révélation
Conclusion : ce premier poème ouvre le reccueil et donne le ton à la suite.
Ouvrir sur : Spleen et idéal, poète maudit
Ou : Modernité. Texte complémentaire de J. Cocteau
Poème liminaire du recueil. Recueil qui montre la modernité de Baudelaire : trouver le beau dans le laid.
I Une vision pessimiste de l'Homme
Après les parnassiens, baudelaire donne un autre rôle à la poésie : chanter le spleen qui marque l'homme d'humeurs noires. La poésie naît de ce mal. Elle crée une rupture avec le passé.
Pascal a dit : "le coeur de l'homme est creux et plein d'ordures". ici, le but de baudelaire est de peindre l'homme faible.
A) Une peinture de la faiblesse humaine
Liste de défauts. (V1)
Homme vit dans l'illusion (V8)
Manque de volonté : l'homme se complait dans le Mal
La débauche.
A l'opposé des poètes romantique où Dieu est au centre, Baudelaire place Satan au centre.
B) L'esthétique satanique
Champs lexical de la religion.
Images, avatars du Mal.
C) La place du Spleen
Monstres, animaux ==> Menace
V32 : superlatif : effet de crescendo
L'ennui, sous forme allégorique.
Annonce le ton du recueil
Fonctions de la préface : - informer sur le genre
- Donner le ton
- protocole de lecture (Comment et pourquoi lire.)
II Un poème en forme de préface
A) Un pacte avec le lecteur
Pronoms utilisés. D'abord le poète et les autres, puis le poète et le lecteur (Complicité)
Poésie : exercice de lucidité (Rimbaut : "Il faut se faire voyant")
Provocation : Baudelaire force le lecteur à être un personnage actif de son reccueil.
B) La violence poétique : la modernité de Baudelaire
Images crus.
Voc. courant / soutenu
Oxymores : déchirement et réconciliation ( = spleen et idéal)
C) Le déploiement de l'image
Allégories
Strophe 3 : Métaphore filée
Présentatif : rôle de révélation
Conclusion : ce premier poème ouvre le reccueil et donne le ton à la suite.
Ouvrir sur : Spleen et idéal, poète maudit
Ou : Modernité. Texte complémentaire de J. Cocteau
LETTRE 141
Lettre de Rupture
A) Une situation d'énonciation complexe
B) Un exemple particulièrement cruel de la philosophie libertine
II Une argumentation qui vise à culpabiliser
A) Le rappel de la faute
...B) Une démonstration
III fonction de la Lettre : une importance cruciale
A) une fonction dramatique
B) une fonction morale
A) Une situation d'énonciation complexe
B) Un exemple particulièrement cruel de la philosophie libertine
II Une argumentation qui vise à culpabiliser
A) Le rappel de la faute
...B) Une démonstration
III fonction de la Lettre : une importance cruciale
A) une fonction dramatique
B) une fonction morale
LE DENOUEMENT
Cet extrait constitue le dénouement, le noeud d'une piece censé se defaire, il se situe juste apres le passage du jeune garcons qui, comme dans l'acte 1) Annonce qu'il ne viendra pas
On se demande omment va se derouler la derniere conversation de V&E, ce qu'ils vont décider de faire.
Cette fin de Piece constitue-t-elle un véritable dénouement?
I) Un dénouement apparent
A) Un Changement d'atmosphere
didascalies, changement de lumieres montrent qu'on a progressé dans le temps> fin journée, reference au théâtre classique, annonce la fin d'un pocessus.
Estragon se reveille et arrive a oter ses chaussures, sans difficulté (accumulation action)symbole de la fin d'une intrigue
Fin acte 1) E etait hésitant, il est maintenatn entreprenant "je m'en vais"
B) La volonté de départ
Des ouverture de la scene : "s'en aller" olonté non contrarié par la reponse de V." Moi aussi" on peut penser a un jeu avec Spect = tout le monde veut partir.
Champ lexical deplacement , leit motiv depart rythme scene
E etonnement determine et energetique, proposition echapatoire, ton categorique JE mais depart impossible
C) La mort ou la séparation comme seule solution?
Association ID de mort avec arbre, proposition, tentative, echec, nex solution, echec, Processus finalement repousse au lendemain comme l'attente de Godot qui serait echapatoire.
Proposition Separation, V change de sujet
Toutes les solutions proposees par E n'aboutissen ta aucune realisation qui ferait durer la piece ou la concluerait. Du coup, le denouement apparait comme une repetition malgré variations significatives//a la fin de l'Acte I.
II) Un anti-dénouement, une fin qui recommence un nouveau cycle
A) un continuel recommencement
Toujours tout seuls. Même cadre spatio temporel qu'au début de la pièce, même accessoires.
Absence de Godot.
Mêmes thèmes : Silence, suicide, attente.(à travers toute la pièce)
B) Un phénomène de répétition
Mêmes gestes avec les chaussures (// page 68 et page 121)
Volonté de partir, voir fin acte I et acte II où les deux personnages parlent de partir
C) Variation subtiles mais significatives
lumiere ,
acceleration du processus
persos inverse
On sent que le tragique s'intensifie malgré le processus clownesque
III) Entre tragique et comique
A)Elements clonesque
repetition de l'attente devient comique de repetition,
eternel dialogue de sourd, figure de sonorité, paronomases,
malentendus : enleve / releve
didascalies (enleve son pantalon)
-raisonnement illogique sur le suicide
B) Le tragique
Omnipresence de la modalité negative : série d'échecs
persos prisonniers, impuissants & dépendants de ce fameux Godot, englués dans ce lieu (homme dans la vie en general??) attendent la fin de leur vie
Finalement seul l'arbre vie : Nature plus forte que homme, dépendente de rien , d'aucune convention, d'aucune personne?Fatalité
Faillite du langage, necessité de rompre silence
C) Espoir & Pathetique
espoir echapper a attente par suicide ou sauvé par force superieure Godot avec hypotheses+ futurs positifs
Espoir dans la relation des persos qui sont solidaires, se completent et soucis de l'autre (revele incapacité a etre seul
Cette scene veritable denouement? Oui mais aussi un renoncement continuel, face a cela on hesite entre comique et tragique
Insuit une reflexion sur le perso de Godot et son but
On se demande omment va se derouler la derniere conversation de V&E, ce qu'ils vont décider de faire.
Cette fin de Piece constitue-t-elle un véritable dénouement?
I) Un dénouement apparent
A) Un Changement d'atmosphere
didascalies, changement de lumieres montrent qu'on a progressé dans le temps> fin journée, reference au théâtre classique, annonce la fin d'un pocessus.
Estragon se reveille et arrive a oter ses chaussures, sans difficulté (accumulation action)symbole de la fin d'une intrigue
Fin acte 1) E etait hésitant, il est maintenatn entreprenant "je m'en vais"
B) La volonté de départ
Des ouverture de la scene : "s'en aller" olonté non contrarié par la reponse de V." Moi aussi" on peut penser a un jeu avec Spect = tout le monde veut partir.
Champ lexical deplacement , leit motiv depart rythme scene
E etonnement determine et energetique, proposition echapatoire, ton categorique JE mais depart impossible
C) La mort ou la séparation comme seule solution?
Association ID de mort avec arbre, proposition, tentative, echec, nex solution, echec, Processus finalement repousse au lendemain comme l'attente de Godot qui serait echapatoire.
Proposition Separation, V change de sujet
Toutes les solutions proposees par E n'aboutissen ta aucune realisation qui ferait durer la piece ou la concluerait. Du coup, le denouement apparait comme une repetition malgré variations significatives//a la fin de l'Acte I.
II) Un anti-dénouement, une fin qui recommence un nouveau cycle
A) un continuel recommencement
Toujours tout seuls. Même cadre spatio temporel qu'au début de la pièce, même accessoires.
Absence de Godot.
Mêmes thèmes : Silence, suicide, attente.(à travers toute la pièce)
B) Un phénomène de répétition
Mêmes gestes avec les chaussures (// page 68 et page 121)
Volonté de partir, voir fin acte I et acte II où les deux personnages parlent de partir
C) Variation subtiles mais significatives
lumiere ,
acceleration du processus
persos inverse
On sent que le tragique s'intensifie malgré le processus clownesque
III) Entre tragique et comique
A)Elements clonesque
repetition de l'attente devient comique de repetition,
eternel dialogue de sourd, figure de sonorité, paronomases,
malentendus : enleve / releve
didascalies (enleve son pantalon)
-raisonnement illogique sur le suicide
B) Le tragique
Omnipresence de la modalité negative : série d'échecs
persos prisonniers, impuissants & dépendants de ce fameux Godot, englués dans ce lieu (homme dans la vie en general??) attendent la fin de leur vie
Finalement seul l'arbre vie : Nature plus forte que homme, dépendente de rien , d'aucune convention, d'aucune personne?Fatalité
Faillite du langage, necessité de rompre silence
C) Espoir & Pathetique
espoir echapper a attente par suicide ou sauvé par force superieure Godot avec hypotheses+ futurs positifs
Espoir dans la relation des persos qui sont solidaires, se completent et soucis de l'autre (revele incapacité a etre seul
Cette scene veritable denouement? Oui mais aussi un renoncement continuel, face a cela on hesite entre comique et tragique
Insuit une reflexion sur le perso de Godot et son but
Scene D'exposition
En quoi cette scene d'exposition prend à contre pied le théâtre traditionnel?
I) Une scene d'exposition étrange > Differe du theatre classique
qui reprend les regles du théâtre traditionnel en les détournant
A)place l'action dans un cadre spatio-temporel imprécis
B)Presente des personnages inconnus
C)Semble ne pas contenir d'intrigue
II) Mais contient bien une intrigue basée sur le theme de l'attente et de l'ennui > intrigue originale (cf Crise du personnage dans le theatre moderne, attente crée la dramaturgie, Anne Ubersfeld)
A) meublée de silence, parole = divertissement Pascalien
B) L'attente d'un personnage mysterieux, Godot (lien titre oeuvre)
C) Des actions répétées et des dialogues qui n'avancent pas : l'imcompréhension
ces themes au fond tragiques sont joués sous forme burlesque :
III) Spectateur Entre rire et larme des le debut de la piece "les pensées de Pascal jouées par les Fratellini, Anhouil) > Reaction des spectateurs inédites
A)Le Burlesque : personnages clowns
B)Le tragique
partagé, rire Jaune
C)Un théâtre caracteristique d'un nouveau genre, L'absurde : montrer absurdité de la condition humaine, l'irrationnel qui était voilé par des conventions mais mis a jour durant les guerres.
La pièce fit scandale à l'époque. Les premières semaines de représentations, la moitié de la salle sortait avant la fin de l'acte I. D'autres spectateurs agacés restaient pour contrarier le jeu des acteurs en huant, et en faisant du bruit. Godot déclenchait chaque soir des batailles rangées entre les défenseurs de la pièce et les mécontents. La situation a dégénéré un soir en une bagarre et le rideau s'est baissé au début de l'acte II. C'est aussi ce qui l'a rendu célèbre : les gens se déplaçaient pour vivre le scandale, plus que pour découvrir un jeune auteur.
I) Une scene d'exposition étrange > Differe du theatre classique
qui reprend les regles du théâtre traditionnel en les détournant
A)place l'action dans un cadre spatio-temporel imprécis
B)Presente des personnages inconnus
C)Semble ne pas contenir d'intrigue
II) Mais contient bien une intrigue basée sur le theme de l'attente et de l'ennui > intrigue originale (cf Crise du personnage dans le theatre moderne, attente crée la dramaturgie, Anne Ubersfeld)
A) meublée de silence, parole = divertissement Pascalien
B) L'attente d'un personnage mysterieux, Godot (lien titre oeuvre)
C) Des actions répétées et des dialogues qui n'avancent pas : l'imcompréhension
ces themes au fond tragiques sont joués sous forme burlesque :
III) Spectateur Entre rire et larme des le debut de la piece "les pensées de Pascal jouées par les Fratellini, Anhouil) > Reaction des spectateurs inédites
A)Le Burlesque : personnages clowns
B)Le tragique
partagé, rire Jaune
C)Un théâtre caracteristique d'un nouveau genre, L'absurde : montrer absurdité de la condition humaine, l'irrationnel qui était voilé par des conventions mais mis a jour durant les guerres.
La pièce fit scandale à l'époque. Les premières semaines de représentations, la moitié de la salle sortait avant la fin de l'acte I. D'autres spectateurs agacés restaient pour contrarier le jeu des acteurs en huant, et en faisant du bruit. Godot déclenchait chaque soir des batailles rangées entre les défenseurs de la pièce et les mécontents. La situation a dégénéré un soir en une bagarre et le rideau s'est baissé au début de l'acte II. C'est aussi ce qui l'a rendu célèbre : les gens se déplaçaient pour vivre le scandale, plus que pour découvrir un jeune auteur.
MONOLOGUE DE POZZO
En quoi ce texte releve il de la tragi-comédie?
I - Parodie du jeu de l'acteur incarné par Pozzo
A) Trois publics
.Auquel P s'adresse par imperatif pour capter attention.
.Le public : Vlad&Estr + double énonciation = le spectateur aussi concerné ou bien le lecteur (didascalies tic au tac // temps) ,
.Po focalise l'attention sur lui mm mais tourne au ridicule
B) Un comedien qui en fait trop
.Autoritaire, Lucky est sa marionnette "tire corde"
.Gestes exagérés montrés par didascalies = ridicul
.A la recherche de congratulation (questions mais E+V se mokent de l'acteur en imitant l'anglais, ils se moquent de l'utilisation du langage
.stychomities, jeu avec spectateur ou V& E imaginent reaction & se moquent du snobisme & de l'egocentrisme de Pozzo
C) Rappel de l'attente par un discours sans sens qui n'aboutit a rien
QUE METTEZ VOUS DANS CETTE SOUS PARTIE QUE L'ON NE REPETE PAS DANS LE GRAND II??
= texte comique avant tout & ironique mais fond tjs tragique
II - L'echec du language
A) Echec de la tentative poetique
Echec de la parole, aporie du lyrisme qui va crescendo puis retombe (didasc + ton)
Des onomathopés et mot argots stoppent toute tentative poetique
B) Echec de la communication
Les persos parlent pour parler et ne s'écoutent plus
"du tic au tac CATULLE""Ah oui la nuit" aucun rapport
theme de l'imcomprehension recurrent, les persos ne comprennent rien, l'absurdité de la condition humaine passe par le langage , premiere "convention" mise en experience, on voit qu'il est vain et illogique, irrationnel. Le public s'ennuie
C) La solitude comme attente est seule compagnie
Incomprehension montre la solidtude de chacun
Rappel du theme de la piece, en attendant Godot, les persos parlent pour meubler un vide et attendre ce personnage.
I - Parodie du jeu de l'acteur incarné par Pozzo
A) Trois publics
.Auquel P s'adresse par imperatif pour capter attention.
.Le public : Vlad&Estr + double énonciation = le spectateur aussi concerné ou bien le lecteur (didascalies tic au tac // temps) ,
.Po focalise l'attention sur lui mm mais tourne au ridicule
B) Un comedien qui en fait trop
.Autoritaire, Lucky est sa marionnette "tire corde"
.Gestes exagérés montrés par didascalies = ridicul
.A la recherche de congratulation (questions mais E+V se mokent de l'acteur en imitant l'anglais, ils se moquent de l'utilisation du langage
.stychomities, jeu avec spectateur ou V& E imaginent reaction & se moquent du snobisme & de l'egocentrisme de Pozzo
C) Rappel de l'attente par un discours sans sens qui n'aboutit a rien
QUE METTEZ VOUS DANS CETTE SOUS PARTIE QUE L'ON NE REPETE PAS DANS LE GRAND II??
= texte comique avant tout & ironique mais fond tjs tragique
II - L'echec du language
A) Echec de la tentative poetique
Echec de la parole, aporie du lyrisme qui va crescendo puis retombe (didasc + ton)
Des onomathopés et mot argots stoppent toute tentative poetique
Reflexion censée attirer attention decredibiliser par l'acteur lui mm
B) Echec de la communication
Les persos parlent pour parler et ne s'écoutent plus
"du tic au tac CATULLE""Ah oui la nuit" aucun rapport
theme de l'imcomprehension recurrent, les persos ne comprennent rien, l'absurdité de la condition humaine passe par le langage , premiere "convention" mise en experience, on voit qu'il est vain et illogique, irrationnel. Le public s'ennuie
C) La solitude comme attente est seule compagnie
Incomprehension montre la solidtude de chacun
Rappel du theme de la piece, en attendant Godot, les persos parlent pour meubler un vide et attendre ce personnage.
retour au silence: la parole meuble le silence (divertissement pascalien)
En Attendant Godot, 1952 (publié, Samuel Beckett) 1953 (Mise en Scène Roger Blin, Théâtre de Babylone) LE MONOLOGUE DE LUCKY
I) Les Rouages du Langage à Découvert
En supprimant tout repère, Beckett met en evidence l'irrationnel
A)C'est une tentative de reflexion : La parodie du discours scientifique
(expressions "étant donné" "a la suite des recherches" ;
Mise en place d'un schema hypothese, demo, conclu avec 3 hypotheses : Celle d'un dieu personnel, celle de l'amaigrissement de l'homme malgre 'essor de la science ; celle de la similitude de l'air a la campagne, a la mer, a la montagne) mais cette "rigueur" de reflexion n'est qu'apparente et ne mene a rien sinon a parodier le serieux de discours scientifique.
Beckett montre que les autorités de la science n'ont pas de fondement & force une admiration naive (couple de savants)
Cette prise de parole se revele etre un échec douloureux pour le personnage
B)Une prise de parole douloureuse
Parle comme un disque endommagé (repetition mots et syllabes)
il est guetté par la desintegration physique et morale, dis choses sans lien logique et vides de sens
Cette tentative est en realité un jeu avec les mots
C)Le mot comme chose
Le mot est vu comme materiel, un langage mécanique (enumeration departement, precisions inutiles = etalement de savoir "golf tant 9 que 18 trous) Ce n'est alors plus le mot mais le son qui compte "bref/Bresse"+ rimes & jeux de sonorité.
II) Une reflexion cruelle sur le langage
Monologue qui invite à réfléchir sur la manière dont le langage se forme : arbitraire et plaisir des mots et des sons ou rapport concret entre la chose et le mot qui la désigne ?
Beckett rentre dans le débat initié par Platon ou Cratyle et Socrate s'opposent sur les origines des mots.
Pour Cratyle : Mots = naturel, initié par Dieu, désigne chose, justesse naturelle des sons qui échappe aux hommes. images qui renvoient a la réalité. Prétend que l'on peut connaitre les choses a partir des noms
Pour Socrate : Mots= faits de conventions humaines , les noms n'ont en réalité aucun sens et sont fondés sur le simple plaisir des sons
Une autre explication (plus ou moins la meme mais formulée differement pour le II)
Apres avoir mis les failles du langage en evidence il impose donc une
II reflexion cruelle sur le langage en s'interrogeant sur ses origines comme Platon a pu le fr dans Cratyle
A) Langage dont la science n'arrive pas a expliker l'impuissance : parodie institution scientifik: Accacacademie, antropopopometrie, deformation de noms propres pour designer couple de scientifik + expression on ne sait mais on verra
+ 2eme hypothese amaigrissement de l'homme malgré sport
rappel camp de concentration, degenerescence cond humN qui st point de depart de la reflexion de Beckett sur le langage qui est le seul recour de l'homme , necessiT de le reformer??? Question ouverte
B) qui a ses limites : il ne peut exprimer certaines questions comme la presence ou non d'un dieu (finalement reduit a dieu a barble blanche) decrit komm aphasik etc : dialogue ke dans un sens mais ki finalmt pourrai refleT cette condit° humN, dans une attenT de qqch ki pourrait sauver ms aveK ki dialogue ke ds un sens, langage est impuissant a exprimer ce kil ne connait pas reflete par Lucky)
C)face a cette tragedie, B a choisi de fr reagir spectateur par rire.
Fond tragique, forme comik, burlesque, spect ne sait tres bien ou doit se situer, (jeu de mots, persos burlesque dans didascalies, cris comme un animal a la fin... comme un theatre de clown.)
Rire comme seule reponse a ce mal etre de cond humN & incommunicabilité?
CONCLUSION : En quoi ce monologue en apparence incomprehensible refleT limite langage et necessiT reformer?
B met en evidences rouages du langages et ouvre a de nombreuses questions sur son inneficacité ds la science, la religion. Mal aise pour le spect ki ne sait si il doit en rire ou en pleurer.
Puis ouverture
En supprimant tout repère, Beckett met en evidence l'irrationnel
A)C'est une tentative de reflexion : La parodie du discours scientifique
(expressions "étant donné" "a la suite des recherches" ;
Mise en place d'un schema hypothese, demo, conclu avec 3 hypotheses : Celle d'un dieu personnel, celle de l'amaigrissement de l'homme malgre 'essor de la science ; celle de la similitude de l'air a la campagne, a la mer, a la montagne) mais cette "rigueur" de reflexion n'est qu'apparente et ne mene a rien sinon a parodier le serieux de discours scientifique.
Beckett montre que les autorités de la science n'ont pas de fondement & force une admiration naive (couple de savants)
Cette prise de parole se revele etre un échec douloureux pour le personnage
B)Une prise de parole douloureuse
Parle comme un disque endommagé (repetition mots et syllabes)
il est guetté par la desintegration physique et morale, dis choses sans lien logique et vides de sens
Cette tentative est en realité un jeu avec les mots
C)Le mot comme chose
Le mot est vu comme materiel, un langage mécanique (enumeration departement, precisions inutiles = etalement de savoir "golf tant 9 que 18 trous) Ce n'est alors plus le mot mais le son qui compte "bref/Bresse"+ rimes & jeux de sonorité.
II) Une reflexion cruelle sur le langage
Monologue qui invite à réfléchir sur la manière dont le langage se forme : arbitraire et plaisir des mots et des sons ou rapport concret entre la chose et le mot qui la désigne ?
Beckett rentre dans le débat initié par Platon ou Cratyle et Socrate s'opposent sur les origines des mots.
Pour Cratyle : Mots = naturel, initié par Dieu, désigne chose, justesse naturelle des sons qui échappe aux hommes. images qui renvoient a la réalité. Prétend que l'on peut connaitre les choses a partir des noms
Pour Socrate : Mots= faits de conventions humaines , les noms n'ont en réalité aucun sens et sont fondés sur le simple plaisir des sons
la A)La science ne peut expliquer cette impuissance du langage.
La La science est faible , a ses limites et ne peut donc expliquer cette incapacité a communiquer tout comme elle ne peut expliquer.
L’homme perd de l’épaisseur « amaigrissement » malgré la multitude de divertissements qui lui sont possibles. Du coup, rupture avec le sacré, l’homme est rivé sur son corps&donc sur la science sans penser qu’il n’est pas que cela. (voir la liste des divertissements proposés)
« Science sans conscience n’est que ruine dans l’âme », Rabelais : deuxième observation, Lucky terrorisé par cette science soit disant toute puissante, les corps amaigris ne sont pas sans rappeler au lecteur de l’époque les camps de concentration (Beckett témoin du nazisme, a partcipé a la resistance) dans lesquels l’homme est devenu chose et objet d’expérimentation.
Paradoxalement la toute puissance de la science a ses limites car elle n’arrive pas, comme le langage, à tout expliquer. « On ne sait pourquoi mais on a le temps »
Critique de la science comme accusation : a séparé l’homme de Dieu : voir l’image presque caricaturale du Dieu à « barbe blanche ». La science a voulu prouver son inexistence, l’homme qui n'a plus de reperes doit se rattacher a sa propre vision des choses & est déboussolé.
B) un rapport à Dieu indicible.
Description étonnante du Dieu caractérisé par son « athambie », son « aphasie » et son « apathie ». La répétition de l’adjectif « divine » insiste sur la nécessité de le préciser puisque ces caractéristiques n’ont justement rien de divin.
« apathie » suggère l’incapacité à éprouver un sentiment, une émotion ou un désir et l’aphasie son incapacité à communiquer. Une image finalement assez lointaine de l’image du Dieu omnipotent que l’on a l’habitude de voir. Mais au niveau de l’expérience humaine, finalement l’image est assez vraie : la communication est difficile et ne fonctionne que dans un sens (est-ce réellement une communication ?) et comment savoir que Dieu éprouverait des sentiments ? Notre expérience avec Dieu est celle que raconte Lucky, frustré et seul, incapable de communiquer avec les autres. Seule la foi fait la différence. Rappeler le pari de Pascal et chercher la notion de Dieu chez Pascal (« dieu caché », un peu comme dans cet extrait).
Le langage est impuissant à exprimer clairement ce que l’homme ne connaît pas. Il semble donc être pour B. Un ensemble de conventions humaines , comme la science, qui empechent l'homme d'être dans le vrai (Nb. Theatre Absurde : champ experience pour faire ressortir l'irrationnel & toutes les conventions qui empechent homme d'etre dans sa vrai nature parodiées)
C) Le rire comme seule réponse.
On se doute bien alors de la dimension clairement tragique de l’extrait : homme irrémédiablement seul, absurdité de la condition humaine, tentatives pour lui donner un sens inopérantes. On serait alors tentés d’avoir une réaction de dégoût, d’abattement face à de telles conclusions. Or, la première réaction à l’écoute de Lucky, est le rire (jaune peut être...)
Rechercher les causes du comique :
Ø Parodie, prise au sérieux, jeu de Lucky, débit, folie apparente (pourquoi ?) voyeles scatophiliques, didascalies...
exRire comme méta-langage ? Efficacité contre la solitude, efficacité contre l’incompréhension > autre forme de communication ?
Conclusion : Apparemment insensé, le monologue de Lucky enferme, comme toujours chez Beckett, plusieurs clés d’interprétation. Condition de l’homme, impuissance du langage, incapacité à communiquer ou dire vraiment ce que l’on veut dire, solitude et attente, tels sont les éléments tragiques abordés dans ce monologue sous les traits de la farce, peut être parce qu’il ne nous est possible que de rire, renvoyés à un tel miroir de notre condition.
Une autre explication (plus ou moins la meme mais formulée differement pour le II)
Apres avoir mis les failles du langage en evidence il impose donc une
II reflexion cruelle sur le langage en s'interrogeant sur ses origines comme Platon a pu le fr dans Cratyle
A) Langage dont la science n'arrive pas a expliker l'impuissance : parodie institution scientifik: Accacacademie, antropopopometrie, deformation de noms propres pour designer couple de scientifik + expression on ne sait mais on verra
+ 2eme hypothese amaigrissement de l'homme malgré sport
rappel camp de concentration, degenerescence cond humN qui st point de depart de la reflexion de Beckett sur le langage qui est le seul recour de l'homme , necessiT de le reformer??? Question ouverte
B) qui a ses limites : il ne peut exprimer certaines questions comme la presence ou non d'un dieu (finalement reduit a dieu a barble blanche) decrit komm aphasik etc : dialogue ke dans un sens mais ki finalmt pourrai refleT cette condit° humN, dans une attenT de qqch ki pourrait sauver ms aveK ki dialogue ke ds un sens, langage est impuissant a exprimer ce kil ne connait pas reflete par Lucky)
C)face a cette tragedie, B a choisi de fr reagir spectateur par rire.
Fond tragique, forme comik, burlesque, spect ne sait tres bien ou doit se situer, (jeu de mots, persos burlesque dans didascalies, cris comme un animal a la fin... comme un theatre de clown.)
Rire comme seule reponse a ce mal etre de cond humN & incommunicabilité?
CONCLUSION : En quoi ce monologue en apparence incomprehensible refleT limite langage et necessiT reformer?
B met en evidences rouages du langages et ouvre a de nombreuses questions sur son inneficacité ds la science, la religion. Mal aise pour le spect ki ne sait si il doit en rire ou en pleurer.
Puis ouverture
samedi 14 mai 2011
Lettre 33
II- une apparente critique de l'illusion romanesque
A- l'utilisation des discours d'autrui
- ref aux enfants : «je vous aime / je me rend»
- discours a travers mme de tourvel : «elle vous bat dans sa lettre»
- merteuil compare valmont a un ecolier : «relisez votre lettre : il y regne un ordre qui vous decele a chaque phrase» + repetition du verbe arranger => montre que ce n'est pas sincere
B- la duplicite de l'ecriture
- merteuil vise a faire ceder son interlocuteur, elle perd son confident qui tombe amoureux de la presidente (ce qui n'est plus conforme aux principes libertins)
- elle monopolise la parole => elle veut etre presente dans l'esprit de valmont.
C- une justification indirecte du pari du romancier
-parallelisme roman/ lettre : «vous vous etes laisse aller a ecrire» + «c'est le defaut des romans...» => opposition entre lettre et parole
- veritable clin d'oeil de l'auteur : laclos anticipe la fin du roman en disant que merteuil va se faire avoir
Conclusion : dans sa lettre merteuil defend les principes du libertinage puisqu'elle est elle-meme libertine et stratege.
Critique illusion romanesque, reprend les discours => justification du genre epistolaire selon laclos.
Ouverture : forme et signification de Rousset.
A- l'utilisation des discours d'autrui
- ref aux enfants : «je vous aime / je me rend»
- discours a travers mme de tourvel : «elle vous bat dans sa lettre»
- merteuil compare valmont a un ecolier : «relisez votre lettre : il y regne un ordre qui vous decele a chaque phrase» + repetition du verbe arranger => montre que ce n'est pas sincere
B- la duplicite de l'ecriture
- merteuil vise a faire ceder son interlocuteur, elle perd son confident qui tombe amoureux de la presidente (ce qui n'est plus conforme aux principes libertins)
- elle monopolise la parole => elle veut etre presente dans l'esprit de valmont.
C- une justification indirecte du pari du romancier
-parallelisme roman/ lettre : «vous vous etes laisse aller a ecrire» + «c'est le defaut des romans...» => opposition entre lettre et parole
- veritable clin d'oeil de l'auteur : laclos anticipe la fin du roman en disant que merteuil va se faire avoir
Conclusion : dans sa lettre merteuil defend les principes du libertinage puisqu'elle est elle-meme libertine et stratege.
Critique illusion romanesque, reprend les discours => justification du genre epistolaire selon laclos.
Ouverture : forme et signification de Rousset.
SEQUENCE 2) LE THEATRE
Le Théâtre, Textes et représentations
Etude suivie de En Attendant Godot, 1952, Samuel Beckett
Mouvement théâtral : Le Théâtre de l'Absurde (au lendemain de la guerre, faire ressortir l'irrationnel de l'homme sur la scène, comme une experience)
*L'absurde est une notion philosophique issue de l'existentialisme, illustree dans les année 1940 dans des oeuvres telles que sartre avec la nausee en 1938 ou l'etranger d'albert camus en 1942 qui expriment l'absurdite de la condution humaine. Les themes abordés sont la solitude de l'homme, le silence du monde, l'attente, et l'insignifiance ou proliferation du language. Les principaux dramaturges de l'absurde sont eugene ionesco et samuel beckett.
documents complémentaires:
. exposés
.Anne Ubersfeld, "Le texte et la Scene", le theatre est un texte a trou, mettre en scene c'est prendre parti
.R. Abichared, La Crise du personnage dans le theatre moderne
extrait du mail premiers oraux
-: En très gros la crise du personnage du theatre moderne c'est le personnage qui se contente d'etre la. Le personnage de theatre se définissait par ses actes. Sil ne se passe plus rien, si le personnage ne fait rien, n'a rien a faire comment peut il se définir?! donc ils se contentent d'être la et ici ils attendent. et être attente crée cet espace temps dramatique
-Oui c'est ça je pense, on peut aussi dire que c'est une rupture par rapport au personnage de theatre dans la comedie classique car apres les horreurs de la guerre, les auteurs de Beckett cherchent la maniere de montrer que l'homme est en degenerecense. Degenerecence qui se reflete a travers les personnages en termes physiques mais aussi et surtout a travers la mise en experience de l'homme : comment reagit il dans un cadre qui semble vide, ou il n'a rien, ou lil n'a rien a faire et se contente d'attendre un personnage qui represente un espoir mais qui ne vient finalement pas. Parmis les reactions des persos on observe qu'ils utilisent le langage pour pallier l'ennuie, un langage absurde (reflet de leur condition, reflet de l'incommunicabilité et de l"echec du langage) mais qui vise au moins a les occuper. Ouvertures de nombreuses questions de la part de Beckett sur la condition humN ms aussi de la necessiT de renouveau de langage (si condition humN est refleT par le langage, faut il le renouveler pour sortir l'Homme de sa degenereccence apparente??)
. En Attendant Godot, descrriptif de la piece de theatre
. Petite Histoire du Théâtre
. Les didascalies et leur support sur la dramaturgie, visions d'acteurs et de metteurs en Scene , Etienne Bierry 'Moine soldat', Joël Jouanneau 'libérons nous'...
. Rhinoceros de Ionesco
rhinoceros de Ionesco (1959):
Dans la pièce, une épidémie imaginaire de « rhinocérite » effraie tous les habitants d'une ville et les transforme bientôt tous en rhinocéros.
En gros au début, il n'y a que quelques contaminés, minoritaires qui choquent et effrayent les habitants. Mais au fur et a mesure, de plus en plus de personnes se transforment en rhinoceros, même jean, qui était au départ le plus choqué de la presence de rhinoceros dans la ville. Seul son ami, Bérenger décide de resister et il fini par être le dernier humain de la ville.
Cette pièce est généralement interprétée comme une métaphore de la montée des totalitarismes à l'aube de la Seconde Guerre mondiale et aborde les thèmes de la conformité et de la résistance.
J'ajouterai que le thême du déreglement du langage revient souvent dans la pièce; ça peut aider comme ouverture pour "en attendant godot"; le totalitarisme dans la pièce peut aussi servir d'ouverture pour le texte d'Orwell
.Extrait de la scene d'exposition de Fin de Partie
. Les Pensées de Pascal jouées par les Fratellini
es pensées de pascal (scientifique, théologien, philosope) font l'apologie de la religion chrétienne. sa théorie c'était qu'on a rien à perdre en ayant la foi même si dieu existe ou pas. il pense aussi que le seul divertissmeent de l'homme c'est la communication donc d'où le tragique de EAG. "les pensées de pascal jouées par les fratellini" c'est la réaction de jean anouil quand il a vu la pièce pour la premièere fois en 1953. Anouilh qualifie pascal d penseur de la condition humaine (le temps qui passe, l'nnui, la souffrance ...) paradoxe = réflexion sérieuse mise en scène par des clowns (les fratellini)
J'Accuse, Emile Zola, 1898
En quoi J'Accuse est t'il un modèle de littérature engagée?
J'accuse écrit à Felix Faure, pour défendre Dreyfus
I) c'est un acte d'accusation
a) dont la force vient de la structure
anaphore "j'accuse", martellement = deterinantion, multiplicité et brieveté des paragraphes...
b) qui dénonce des cibles
individus nommés précisemnt, experts , ministere de la guerre, justice (le plus grave car censé etre legitime)
II) qui devient un plaidoyer pour defendre des valeurs fondamentales des droits de l'homme
a) visible a travers le refus et l'opposition
recherche verité par le refus du mensonge , recherche le respect au droit, egalité et justice par l'opposition a la justice nuisible "sciemment coupable"
b) expression directe de valeurs
"verité et justice", respect etre humain, metaphore lumire = droit au bonheur, valeurs de 1789
c'est au nom de ces valeurs que Zola s'engage
III) Un écrivain engagé
a) Persuadé pour persuader
anaphore et ton categorique , implication personnelle "je" ; présent, formules de volontéfont la force de la persuasion
b) Passion & lyrisme
Je est risqué et passioné (ex auteurs romantiques), universel et subjectif , hyperboles "cri de mon ame" ,
>Utilisation de la presse pour un engagement violent au noms de valeurs permettent de faire de ce texte un texte percutant, influent & engagé
*On peut aussi ouvrir sur les écrivains engagés. Y'a par exemple l'affaire Calas où Voltaire s'était battu pour la réhabilitation des Calas
*On peut ouvrir sur le rôle de la presse
J'accuse écrit à Felix Faure, pour défendre Dreyfus
I) c'est un acte d'accusation
a) dont la force vient de la structure
anaphore "j'accuse", martellement = deterinantion, multiplicité et brieveté des paragraphes...
b) qui dénonce des cibles
individus nommés précisemnt, experts , ministere de la guerre, justice (le plus grave car censé etre legitime)
II) qui devient un plaidoyer pour defendre des valeurs fondamentales des droits de l'homme
a) visible a travers le refus et l'opposition
recherche verité par le refus du mensonge , recherche le respect au droit, egalité et justice par l'opposition a la justice nuisible "sciemment coupable"
b) expression directe de valeurs
"verité et justice", respect etre humain, metaphore lumire = droit au bonheur, valeurs de 1789
c'est au nom de ces valeurs que Zola s'engage
III) Un écrivain engagé
a) Persuadé pour persuader
anaphore et ton categorique , implication personnelle "je" ; présent, formules de volontéfont la force de la persuasion
b) Passion & lyrisme
Je est risqué et passioné (ex auteurs romantiques), universel et subjectif , hyperboles "cri de mon ame" ,
>Utilisation de la presse pour un engagement violent au noms de valeurs permettent de faire de ce texte un texte percutant, influent & engagé
*On peut aussi ouvrir sur les écrivains engagés. Y'a par exemple l'affaire Calas où Voltaire s'était battu pour la réhabilitation des Calas
*On peut ouvrir sur le rôle de la presse
"De l'Horrible Danger de la Lecture" 1765, Voltaire
En quoi ce pamphlet est-il révélateur de l'esprit des Lumieres?
> écrit a la suite de l'édit turc de 1757 contre l'imprimerie, 30 ans apres son importation en Turquie par Said Effendi, ambassadeur en France)
I) Une page facétieuse (burlesque) dans laquelle V. utilise la parodie
a) Un contexte fantaisiste
(mode orientalisme, termes, exagerations mais references réelles : frankrom&said effendi)
b)La parodie de deux institutions
texte de loi = la justice (structure, "nous" juridique, "sous peine de)
texte biblique = religion (epitre St Paul Colossien "Paul apotre de JC appellé par la volonté de Dieu")
Revelateur du melange des deux institutions.
>Voltaire est contraint de détourner pour exprimer sa réelle visée
II) Sous la parodie & la derision se cache un pamphlet virulent
a)Premiere victime de Voltaire, la justice et le pouvoir arbitraire
menee par doctrine religieuse et fanatique "LA saine doctrin"
avec opposition a "amour du bien public" =valeur, ironie de voltaire
Frankrom (france menee par la religion)
justice arbitraire, Mouphti est erige en dieu, droit canonique d'un regime autoritaire
b) La denonciation de l'obscurantisme
"ignorance gardienne etat police" ironie, reference aux "miserables philosophes" en effet pour V le livre permet de faire evoluer société.
comparaison France avec Turquie autrefois jugée "inferieure"
c) l'Eglise, institution la plus ridiculisée
"sottise & benediction" l'Eglise et ses responsables vaniteux "damnation eterrnelle"se prennent pour dieu
disproportion de l'acte et de la pene + corruption "commerce du pelerinage"
Voltaire était en effet un déiste "la religion ne doit pas pâtir des sottises des prêtres", il fait l'apologie des lumieres
III) L'apologie des lumières
A)progres materiels du siecle
invention imprimerie, santé, mecanique agricole = apologie de l'encyclopedie permise grace a progres intellectuels
B) Progres intellectuel
histoire qui rend justice (ref bible & moines copistes qui propagandaient)
connaissance comme source d'emancipation "eclairer raison" , metaphores dans le texte
C)Progres spirituels & moraux
elevation ame/amour permise par la lecture (livre ressort moral ex contes philo), livre permet lib de penser & exprimer, portrait du philosophe dont le but est de "rendre meilleur"
> Derriere un textes aux allures comiques c'est une attaque vigoureuse & un manuel philosophique.
> écrit a la suite de l'édit turc de 1757 contre l'imprimerie, 30 ans apres son importation en Turquie par Said Effendi, ambassadeur en France)
I) Une page facétieuse (burlesque) dans laquelle V. utilise la parodie
a) Un contexte fantaisiste
(mode orientalisme, termes, exagerations mais references réelles : frankrom&said effendi)
b)La parodie de deux institutions
texte de loi = la justice (structure, "nous" juridique, "sous peine de)
texte biblique = religion (epitre St Paul Colossien "Paul apotre de JC appellé par la volonté de Dieu")
Revelateur du melange des deux institutions.
>Voltaire est contraint de détourner pour exprimer sa réelle visée
II) Sous la parodie & la derision se cache un pamphlet virulent
a)Premiere victime de Voltaire, la justice et le pouvoir arbitraire
menee par doctrine religieuse et fanatique "LA saine doctrin"
avec opposition a "amour du bien public" =valeur, ironie de voltaire
Frankrom (france menee par la religion)
justice arbitraire, Mouphti est erige en dieu, droit canonique d'un regime autoritaire
b) La denonciation de l'obscurantisme
"ignorance gardienne etat police" ironie, reference aux "miserables philosophes" en effet pour V le livre permet de faire evoluer société.
comparaison France avec Turquie autrefois jugée "inferieure"
c) l'Eglise, institution la plus ridiculisée
"sottise & benediction" l'Eglise et ses responsables vaniteux "damnation eterrnelle"se prennent pour dieu
disproportion de l'acte et de la pene + corruption "commerce du pelerinage"
Voltaire était en effet un déiste "la religion ne doit pas pâtir des sottises des prêtres", il fait l'apologie des lumieres
III) L'apologie des lumières
A)progres materiels du siecle
invention imprimerie, santé, mecanique agricole = apologie de l'encyclopedie permise grace a progres intellectuels
B) Progres intellectuel
histoire qui rend justice (ref bible & moines copistes qui propagandaient)
connaissance comme source d'emancipation "eclairer raison" , metaphores dans le texte
C)Progres spirituels & moraux
elevation ame/amour permise par la lecture (livre ressort moral ex contes philo), livre permet lib de penser & exprimer, portrait du philosophe dont le but est de "rendre meilleur"
> Derriere un textes aux allures comiques c'est une attaque vigoureuse & un manuel philosophique.
1984 , George Orwell, 1948
Par quel moyens Orwell dénonce-t'il les Totalitarismes ?
I) L'échec de l'Argumentation de Syme
a) une structure argumentative
these "c'est une belle chose la destruction des mots" , connecteurs logiques
b) une logique absurde
antitheses, "belle/destruction" "vous ne saisissez pas la beauté qu'il y a dans la destruction? " > Semble s'en indigner... etc... "originalité" alors que concession "naturellement nous employons DEJA"
c) un faux dialogue
deux personnages mais un seul s'exprime, Questions rhetoriques.
>Ainsi ce faux dialogue argumentatif montre que 1984 est une dystopie de la communication
II) Une dystopie de la communication
a)L'ironie de Orwell
"naturellement" "imprecisions et nuances inutiles""crime par la pensée "
b) Se moquer pour montrer un monde futur tyrannique
BB terrifiant, reprime, "ardeur froide" crainte de Syme aussi.
crime pensee : une chose n'xiste que si elle est nommée, uniformier esprit
c) Une satire du totalitarisme (particulierement URSS)
"revolution"
surveillance H24
convocation & menace
discipline & service
lavages de cervaux
Une demonstration absurde et illogique d'un personnage soumis a BB permet a Orwell de faire une veritable satire du totalitarisme et d'en denoncer les effets dans une contre utopie, (Orwell, témoin des derives des totalitarismes)
Dans la meme lignée que F. 451
I) L'échec de l'Argumentation de Syme
a) une structure argumentative
these "c'est une belle chose la destruction des mots" , connecteurs logiques
b) une logique absurde
antitheses, "belle/destruction" "vous ne saisissez pas la beauté qu'il y a dans la destruction? " > Semble s'en indigner... etc... "originalité" alors que concession "naturellement nous employons DEJA"
c) un faux dialogue
deux personnages mais un seul s'exprime, Questions rhetoriques.
>Ainsi ce faux dialogue argumentatif montre que 1984 est une dystopie de la communication
II) Une dystopie de la communication
a)L'ironie de Orwell
"naturellement" "imprecisions et nuances inutiles""crime par la pensée "
b) Se moquer pour montrer un monde futur tyrannique
BB terrifiant, reprime, "ardeur froide" crainte de Syme aussi.
crime pensee : une chose n'xiste que si elle est nommée, uniformier esprit
c) Une satire du totalitarisme (particulierement URSS)
"revolution"
surveillance H24
convocation & menace
discipline & service
lavages de cervaux
Une demonstration absurde et illogique d'un personnage soumis a BB permet a Orwell de faire une veritable satire du totalitarisme et d'en denoncer les effets dans une contre utopie, (Orwell, témoin des derives des totalitarismes)
Dans la meme lignée que F. 451
LES OBSEQUES DE LA LIONNE, Jean de la Fontaine, Fables recueil II à Mme de Montespan, 1679
En quoi cette fable sert-elle la dénonciation?
I) L'art de la Fable
A) des personnages vivants pour un récit vivant
personnifications, verbes d'actions et de sentiments, correspondance avec des traits de caractère type : ex cerf = fragile
B) Un récit bien mené & théâtralisé
schéma narratif simple et efficace du récit court, vivants et a la situation concrete
structure theatrale qui divertit , (acmée et rebondissements tragicomiques)
mise en scene propre au theatre (enterrement=ceremoie ou ts persos + animaux = masques)
C)Un rythme enlevé, l'art de varier le style
variété de registres (pathetique, satirique ou lyrique) et donc de tons
variété de rythme (grace aux vers, aux interventions du narrateur qui argumente et au recit qui exemple, a la ponctuation variée.)
>Avec ces élements +une morale explicite amusante La Fontaine divertit, captive le lecteur et lui donne envie de chercher l'autre morale, implicite, une satire de la société du XVIIeme, sous absolutisme.
II) L'Art de la Satire, explicite dans les interventions du narrateur et implicite dans le récit
A) La satire des courtisans
un monde à part, d'apparence, ou la flatterie est de mise
B) La satire du pouvoir royal
Un etre qui se fait obéir en tout lieu, cruel envers les plus faible, dont la colere est injustifiée. Ce pouvoir est tournée explicitement au ridicule, ce qui renforce la denonciation, ouverte, d'un veritable despote
C) La satire de la religion
Plus implicitement, un spectacle por se montrer, ironie du cerf, evocation de la corruption, denonciation du pouvoir de droit divin...
>Fable est ici d'avantage une satire morale qu'un veritable enseifnement, elle denonce les condition d'un ordre etablit mais est equivoque car elle prone le mensonge tout en denoncant l'hypocrisie.
I) L'art de la Fable
A) des personnages vivants pour un récit vivant
personnifications, verbes d'actions et de sentiments, correspondance avec des traits de caractère type : ex cerf = fragile
B) Un récit bien mené & théâtralisé
schéma narratif simple et efficace du récit court, vivants et a la situation concrete
structure theatrale qui divertit , (acmée et rebondissements tragicomiques)
mise en scene propre au theatre (enterrement=ceremoie ou ts persos + animaux = masques)
C)Un rythme enlevé, l'art de varier le style
variété de registres (pathetique, satirique ou lyrique) et donc de tons
variété de rythme (grace aux vers, aux interventions du narrateur qui argumente et au recit qui exemple, a la ponctuation variée.)
>Avec ces élements +une morale explicite amusante La Fontaine divertit, captive le lecteur et lui donne envie de chercher l'autre morale, implicite, une satire de la société du XVIIeme, sous absolutisme.
II) L'Art de la Satire, explicite dans les interventions du narrateur et implicite dans le récit
A) La satire des courtisans
un monde à part, d'apparence, ou la flatterie est de mise
B) La satire du pouvoir royal
Un etre qui se fait obéir en tout lieu, cruel envers les plus faible, dont la colere est injustifiée. Ce pouvoir est tournée explicitement au ridicule, ce qui renforce la denonciation, ouverte, d'un veritable despote
C) La satire de la religion
Plus implicitement, un spectacle por se montrer, ironie du cerf, evocation de la corruption, denonciation du pouvoir de droit divin...
>Fable est ici d'avantage une satire morale qu'un veritable enseifnement, elle denonce les condition d'un ordre etablit mais est equivoque car elle prone le mensonge tout en denoncant l'hypocrisie.
ARGUMENTATION
Argumenter, persuader, convaincre, délibérer
Apologue, essai, dialogue argumentatif
-Apologue : court récit allégorique , en vers ou en prose , renfermant un enseignement moral.
La fable (Les Obseques de La Lionne), l'utopie (Fahrenheit 451 ou 1984) et le conte philosophique (Candide cf texte controle commun) sont 3 exemples d'apologue
Tahar Ben Jelloun, le racisme expliqué aux enfants et le racisme expliqué aux lecteurs du journal Le Monde.
Ce texte nous montre la nécéssité d'adapter nos differentes strategies argumentatives a nos interlocuteurs.
Montesquieu, De l'Esclavage des Negres L'esprit des Lois, 1748
Une argumentation par l'absurde tout d'abord(comme le Pamphlet de Voltaire, De l'Horrible danger de la Lecture) qui permet ensuite de rechercher l'origine de l'esclavage.
These : l'Esclavage est une chose Absurde.
Biographie de Jean de La Fontaine
La litterature d'idées au service des Lumieres
Fahranheit 451, Ray Bradbury, Lecture Cursive,
dénonciation du totalitarisme et rappel des autodafés du régime nazi totalitaire.
Apologue, essai, dialogue argumentatif
-Apologue : court récit allégorique , en vers ou en prose , renfermant un enseignement moral.
La fable (Les Obseques de La Lionne), l'utopie (Fahrenheit 451 ou 1984) et le conte philosophique (Candide cf texte controle commun) sont 3 exemples d'apologue
- Textes complémentaires
Tahar Ben Jelloun, le racisme expliqué aux enfants et le racisme expliqué aux lecteurs du journal Le Monde.
Ce texte nous montre la nécéssité d'adapter nos differentes strategies argumentatives a nos interlocuteurs.
Montesquieu, De l'Esclavage des Negres L'esprit des Lois, 1748
Une argumentation par l'absurde tout d'abord(comme le Pamphlet de Voltaire, De l'Horrible danger de la Lecture) qui permet ensuite de rechercher l'origine de l'esclavage.
These : l'Esclavage est une chose Absurde.
Biographie de Jean de La Fontaine
La litterature d'idées au service des Lumieres
Fahranheit 451, Ray Bradbury, Lecture Cursive,
dénonciation du totalitarisme et rappel des autodafés du régime nazi totalitaire.
Inscription à :
Articles (Atom)